Le texte et l’extrait vidéo ci-après documentent l’ouvrage de Philippe Langlois, Les cloches d’Atlantis, Musique électroacoustique et cinéma, Archéologie et histoire d’un art sonore, éditions mf, Paris, 2012.

En revisitant les classiques hollywoodiens par le biais de l’échantillonnage dans Alone Life Wastes Andy Hardy (1998), le cinéaste viennois Martin Arnold aborde la question de l’appropriation et de la relecture. La procédure prolonge la technique de ses deux films précédents : Pièce touchée (1989) et Passage à l’acte (1993).